Le triomphe des impostures intellectuelles
De : Helen Pluckrose, James LindsayDisponible en ligne
Livré chez vous à partir du lundi 25 novembre
Tous les prix incluent la TVA. Expédié et vendu par les Éditions H&O.
RÉSUMÉ :
Comment les théories sur l’identité, le genre, la race gangrènent l’université et nuisent à la société
Préface d'Alan Sokal
Peut-être avez-vous déjà entendu dire que la science et le langage sont sexistes, que seuls les Blancs peuvent être racistes ou que le sexe biologique est une construction sociale ? Ces thèses sont en tout cas en vogue dans une partie du monde universitaire occidental et infusent insidieusement dans la culture, les médias et jusque dans notre vie quotidienne, à travers l’écriture dite « inclusive », par exemple. Mais font-elles réellement avancer la cause des minorités qu’elles sont censées défendre ? Font-elles véritablement évoluer la société dans le sens de l’intérêt commun ?
Dans ce livre à la fois explosif et magistralement documenté — best-seller du New York Times —, Helen Pluckrose et James Lindsay interrogent ces doctrines souvent paranoïaques et retracent leur histoire. Qu’il s’agisse de la Théorie postcoloniale, de la Théorie queer, du néoféminisme, de l’intersectionnalité ou des études critiques sur le handicap et la corpulence, ils pointent impitoyablement les approximations et les incohérences de ces constructions intellectuelles et soulignent la menace qu’elles font peser sur nos sociétés, sur la démocratie et sur la liberté même de penser.
Ils proposent également de véritables choix progressistes pour contrer cette nouvelle orthodoxie autoritaire et poursuivre les indispensables combats pour une société plus juste.
« Une étude critique fouillée sur les délires du militantisme académique américain, vouée à devenir un ouvrage de référence pour tous ceux qui, en France, s’inquiètent des ravages causés dans le monde de l’enseignement supérieur et de la recherche par l’importation de ces fumisteries identitaires et intersectionnalistes, décoloniales et racialistes. »
Pierre-André Taguieff, philosophe, politiste, directeur de recherche au CNRS.
Préface d'Alan Sokal
Peut-être avez-vous déjà entendu dire que la science et le langage sont sexistes, que seuls les Blancs peuvent être racistes ou que le sexe biologique est une construction sociale ? Ces thèses sont en tout cas en vogue dans une partie du monde universitaire occidental et infusent insidieusement dans la culture, les médias et jusque dans notre vie quotidienne, à travers l’écriture dite « inclusive », par exemple. Mais font-elles réellement avancer la cause des minorités qu’elles sont censées défendre ? Font-elles véritablement évoluer la société dans le sens de l’intérêt commun ?
Dans ce livre à la fois explosif et magistralement documenté — best-seller du New York Times —, Helen Pluckrose et James Lindsay interrogent ces doctrines souvent paranoïaques et retracent leur histoire. Qu’il s’agisse de la Théorie postcoloniale, de la Théorie queer, du néoféminisme, de l’intersectionnalité ou des études critiques sur le handicap et la corpulence, ils pointent impitoyablement les approximations et les incohérences de ces constructions intellectuelles et soulignent la menace qu’elles font peser sur nos sociétés, sur la démocratie et sur la liberté même de penser.
Ils proposent également de véritables choix progressistes pour contrer cette nouvelle orthodoxie autoritaire et poursuivre les indispensables combats pour une société plus juste.
« Une étude critique fouillée sur les délires du militantisme académique américain, vouée à devenir un ouvrage de référence pour tous ceux qui, en France, s’inquiètent des ravages causés dans le monde de l’enseignement supérieur et de la recherche par l’importation de ces fumisteries identitaires et intersectionnalistes, décoloniales et racialistes. »
Pierre-André Taguieff, philosophe, politiste, directeur de recherche au CNRS.
CARACTÉRISTIQUES :
Date de parution
ISBN
Type
Nombre de pages
ISBN
Type
Nombre de pages
09/07/2021
9782845473843
Broché
448
9782845473843
Broché
448